Au moment où, plusieurs responsables sportifs prétendent de vouloir défendre la mémoire de nos ancêtres en allant jusqu’à interdire la langue française au sein de leur stucture notamment, à travers leur discours patriotique, sauf qu’en réalité, les choses s’avèrent tout autre du fait qu’une tierce partie s’acharne dans les coulisses du sport national afin de consolider l’amitié ou doit-on dire, du lobbying au profit de l’ancien colonialisme.
Ce qui a été dévoilé par le sélectionneur des U18 à savoir, M. Mourad Slatni, sur un plateau télé, a fini par susciter une grosse polémiquent dont une colère citoyenneté à l’encontre de quelques dirigeants sportifs qui à priori ont voulu exploiter leur statut pendant les jeux méditerranéens d’Oran, pour imposer une certaine idéologie que nul ou presque, n’aurait pu l’accepter, puisqu’il s’agit bel et bien d’une tentative de trahison contre la diplomatie algérienne, mais surtout, à l’égard de la mémoire nationale.
En effet, selon l’intervenant, le DTN de la fédération Algérienne de Football, M. Toufik Korichi, a insisté auprès du coach de nos U18 pour que nos jeunes fennecs accèdent sur la pelouse du stade main dans la main avec leurs adversaires français, non pas seulement, ce dernier avait même exigé une photo mixte en association avec les tricolores.
Ayant catégoriquement refusé cette idée, l’ex-international bônois, en l’occurrence, M. Mourad Slatni, avait sans aucune hésitation décliné les recommandations venant du DTN par intérim de la FAF, malgré la pression qui lui a été exercée avant le coup d’envoi de la rencontre.
Contacté par la rédaction de l’émission (Elwatania Tv), le DTN par intérim de la fédération algérienne de Football (FAF), n’a pas nié les faits, mais il a tout de même expliqué que cette décision était sous les directives personnelles de M. Berraf Mustapha, l’ancien président du comité olympique et sportif Algérien (COA) dont il a même affirmé, que ce dernier s’est rendu jusqu’aux vestiaires des verts comme tentative de les convaincre à changer leur posture et accepter de rentrer main dans la main avec les adversaires.
Pis encore, bien que M. Mustapha Berraf, n’avait aucune tâche organisationnelle dans ces jeux méditerranéens, mais n’empêche, que le prétendant mis en cause aurait, selon la version de M. Toufik Korichi, réagi au nom des autorités, Reste à confirmer, de quelles autorités faisait allusion ? Car seul M. Aziz Derouaz, directeur du comité d’organisation des jeux méditerranéens, avait l’ensemble des prérogatives de réagir par délégation des hautes autorités.
Vidéo: https://youtu.be/qcJNbGShqtM