Hafid Derradji revient sur ses propos sur Djamel Belmadi

Selon le média TSA, face à la polémique suscitée par ses propos, sur Djamel Belmadi, le commentateur Algérien Hafid Derradji a tenu à clarifier certaines choses dans une déclaration à TSA ce mercredi 4 janvier.

« En dépit des clarifications sans ambages que j’ai apportées la semaine dernière au forum du journal Al Hiwar, certains parmi les confrères et les internautes continuent de spéculer sur la teneur de mes déclarations au sujet de l’entraîneur national Djamel Belmadi et de me faire dire ce que je n’ai pas exactement dit », explique le journaliste

Avant d’ajouter « J’ai dit que le coach national assumait une partie de la responsabilité de l’échec en Coupe d’Afrique des nations et de la non-qualification pour la phase finale de la Coupe du monde. J’ai dit cela après avoir longtemps dit (et je continue de le dire aujourd’hui) que Djamel Belmadi a été le grand artisan de la consécration au Caire en 2019 dans des conditions très difficiles. Son mérite dans la belle épopée cairote est grand et il le sera à jamais, je ne le clamerai jamais assez », a-t-il affirmé.

Hafid Derradji dément avoir dit que Belmadi était incapable de diriger les Verts. « Dire ce que j’ai dit ne signifie nullement que le coach national est un « fachil » (loser) comme certains, parlant à ma place, me l’ont fait dire. Je ne suis qu’un journaliste qui, comme tout journaliste et comme tout acteur du football, a vocation à donner son avis », poursuit-il.

Le journaliste algérien qui travaille désormais au Qatar se défend d’avoir mené une campagne en faveur du départ de Djamel Belmadi. « Donner mon point de vue en tant que journaliste ne veut nullement dire, comme certains le suggèrent, que je cherche à précipiter le départ du coach », précise le commentateur de beIN SPORTS.

Avant de conclure « Si la Fédération venait à choisir une autre option, je continuerai de suivre Djamel Belmadi et de m’intéresser avec beaucoup d’intérêt aux prochaines étapes de son parcours et je lui souhaiterai bon courage », conclut Hafid Derradji