Rayan Cherki est au cœur de toutes les attentions cet été. Le jeune prodige d’origine algérienne est désormais l’objet de toutes les convoitises. Cependant, le gaucher pourrait rester dans le championnat français pour une nouvelle saison.
Après avoir fait vibrer les travées de Groupama Stadium pendant plusieurs saisons, Rayan Cherki semble prêt à franchir un nouveau cap. Son contrat est à un an de l’expiration, l’Olympique Lyonnais, contraint de vendre pour renflouer ses caisses, a donné son accord pour un départ. Mais où ?
Le Paris Saint-Germain, éternel suiveur sur le marché des transferts, a rapidement manifesté son intérêt pour le jeune prodige. L’idée de voir Cherki évoluer aux côtés des stars du parc des princes est alléchante. Cependant, la concurrence y est féroce et le temps de jeu n’est pas garanti. Le risque pour Cherki est de se retrouver sur le banc, à l’image d’autres jeunes talents passés par la case Paris.
Le PSG, l’option la plus viable pour Cherki
La Bundesliga, réputée pour favoriser l’éclosion des jeunes talents, apparaît comme une alternative intéressante. Le Borussia Dortmund, avec sa philosophie de jeu offensive, semble être une destination idéale pour Cherki. Mais le RB Leipzig, qui cherche à se renforcer après le départ de Dani Olmo, pourrait également entrer dans la danse. Cependant, les offres financières venant de la Bundesliga sont loins de satisfaire l’OL.
Face à ce manque d’offres concrètes, le Paris Saint-Germain pourrait devenir l’option la plus viable pour Cherki. Le club parisien avait déjà négocié un transfert d’environ 15 millions d’euros avec l’OL, mais cet accord n’a pas été finalisé. Cherki se retrouve donc dans une position d’attente.
L’OL, désireux de résoudre rapidement la situation de Cherki, pourrait envisager de relancer les discussions avec le PSG. Cependant, cette option comporte des risques pour le jeune joueur. Intégrer une équipe aussi compétitive que le PSG, où la concurrence est intense, pourrait le voir passer plus de temps sur le banc qu’il ne le souhaiterait.
