Le salaire astronomique inégalé de Slimani au CRB

Le football algérien a rarement connu un mercato aussi remarquable. Le retour d’Islam Slimani au CR Belouizdad, a suscité un énorme emballement en raison de son statut et son parcours professionnel. Le joueur qui a évolué dans des clubs de renom tels que le Sporting Lisbonne et Leicester City, a fait le choix de revenir en Algérie en signant un contrat de deux ans avec son ancien club.

Avec son contrat, Slimani devient l’un des joueurs les mieux payés de l’histoire du football algérien. Ce n’est plus un secret pour personne, le salaire du joueur au CRB est tout simplement phénoménal. Un chiffre vertigineux qui a rebattu les cartes du marché des transferts en Algérie. Cependant, le profil du joueur et son potentiel, en valait le coup.

Pour le CRB, le retour de Slimani au bercail est bien plus qu’un simple coup de pub. C’est un véritable coup de maître sur le plan sportif. Son expérience, son efficacité devant les buts et son leadership en feront un atout inestimable pour le CRB. Avec lui dans ses rangs, le club algérois peut légitimement prétendre à toutes les compétitions.

Slimani explose les compteurs

De son coté, Slimani vise à retrouver une place au sein de l’équipe nationale pour participer aux prochaines compétitions internationales, dont la Coupe d’Afrique des Nations et les qualifications pour la Coupe du Monde 2026. Le joueur sait qu’il a plus de chances de retrouver sa place au sein des verts s’il joue plus régulièrement dans un club compétitif.

Par ailleurs, le transfert de Slimani a nécessité un engagement financier considérable de la part du CRB. Selon les informations relayées par le quotidien Compétition, son salaire mensuel s’élève à plus de 870 millions de centimes, soit environ 60 000 euros, un montant faramineux pour le championnat algérien.

Ce salaire le place non seulement en tête des rémunérations au sein du CRB, mais également parmi les mieux payés du football algérien. Pour contextualiser, la majorité des joueurs de Ligue 1 en Algérie perçoivent des salaires bien inférieurs, se situant généralement entre 100 et 350 millions de centimes par mois.