Le retour de Djamel Benlamri dans son nouveau club irakien Al-Shorta semble imminent. Après son départ précipité et les graves accusations portées par le superviseur du club, l’ex-international algérien pourrait retourner dans ce club.
Djamel Benlamri a rejoint le club d’Al-Shorta avec l’espoir d’aider l’équipe en ligue des champions. Cependant, seulement 48 heures après son arrivée, il a quitté le club sans préavis, suscitant une large controverse. Ce départ fulgurant est attribué à des tensions avec Wihab Al-Taie, superviseur de l’équipe. Les déclarations publiques d’Al-Taie, accusant Benlamri d’exiger des conditions jugées inappropriées, ont exacerbé la situation et ont fait réagir l’ex international algérien.
Cependant, la direction d’Al-Shorta est intervenu pour régler le problème et permettre le retour du défenseur central. La direction du club a exprimé son mécontentement face à la divulgation des différends internes, estimant que ces discussions auraient dû rester privées. Face à la crise qui s’installait, Al-Shorta a tenté d’apaiser les tensions en proposant des solutions concrètes pour améliorer les conditions de vie et de travail de Benlamri. La direction s’est engagée à fournir un logement permanent plus adapté et à améliorer les conditions de travail du joueur.
Le retour de Benlamri semble imminent
L’objectif était clair : permettre un retour rapide du joueur dans l’équipe pour participer aux préparatifs de la saison. Cette possibilité est rendue plus probable par la démission temporaire d’Al-Taie. Bien que ce geste ait été perçu comme une tentative de calmer la situation, le retour de Benlamri semble imminent. Al-Shorta a nommé Ali Al-Shahmani comme nouveau superviseur, dans l’espoir de restaurer un environnement propice à la réintégration de Benlamri.
La direction d’Al-Shorta a clairement indiqué à Benlamri qu’il était attendu à Bagdad dans les plus brefs délais. Le club a souligné l’importance du joueur pour renforcer sa défense et participer aux préparatifs pour la saison à venir. Malgré les tensions initiales, l’administration reste optimiste quant à un dénouement positif.