Apres plusieurs années passées en Angleterre, à Leicester puis à Manchester City, Riyad Mahrez a décidé de rejoindre, l’été dernier, l’Arabie Saoudite en signant avec le club d’Al Ahli. Une décision qui a engendré un changement dans le mode de vie de l’international algérien et surtout de sa femme, Taylor Ward.
À l’instar de nombreuses autres stars du football mondial, l’international algérien Riyad Mahrez a fini par quitter le football européen et rejoindre le championnat de l’Arabie Saoudite. Recruté l’été dernier par Al Ahli en provenance de Manchester City pour un montant colossal, Riyad Mahrez fait partie aujourd’hui des joueurs les mieux payés au monde. Un choix qui a donc porté beaucoup au capitaine des Fennecs sur le financier, mais aussi une nouvelle expérience de vie pour lui et sa petite famille.
La femme de Mahrez, Taylor Ward se confie
Sa femme, Taylor Ward, s’est d’ailleurs confiée à ce sujet. Celle qui a l’habitude du monde de vie et de la culture occidentale, s’est retrouvée contrainte de quitter l’Angleterre pour rejoindre son mari en Arabie Saoudite. Un changement de cap qui n’a pas été sans influer sur le mode de vie de l’ancien mannequin anglaise qui semble toutefois bien s’en accommoder, comme elle le confie elle-même.
Ce que pense Taylor Ward de sa nouvelle vie en Arabie Saoudite
« Jusqu’à présent, l’expérience a été formidable. Il n’y a évidemment pas d’alcool, donc je ne prendrai pas de verre de vin ! » confie la femme de Riyad Mahrez dans des propos relayés par le Daily Mail. « Pour être honnête, il y a plus de choses que ce que je pensais au départ. (…) L’ambiance est très différente. C’est beaucoup plus détendu là-bas, c’est plus calme, alors qu’à Manchester, la vie est tellement trépidante », affirme Taylor Ward.
« Il y a tellement de choses qui se passent et nous sommes toujours en train de sortir pour dîner et voir des amis. C’est probablement ce qui me manque le plus, voir ma famille et mes amis, plutôt que ce qui manque au pays. Les gens ont été si gentils (…) On ne peut pas comparer avec le Royaume-Uni, il n’y a rien de comparable ici. Pour l’instant, je me plais bien, j’ai l’impression d’être en vacances, je n’ai pas encore l’impression d’avoir déménagé », ajoute la femme de l’international algérien.
