Pourquoi le sélectionneur n’a toujours pas été désigné

Depuis que l’annonce de la fin de fonction de Rabah Madjer à la tête de l’Equipe nationale, la presse ne cesse d’évoquer des noms susceptibles de prendre le poste de sélectionneur. Halilhodzic, Renard, Courbis, Gourcuff, Queiroz, Cuper, Ranieri et d’autres… Mais à la fédération, on a décidé de prôner une communication complètement maladroite. Tout d’abord, le président Zetchi annonce des noms à sa sortie du CTN de Sidi-Moussa, le 24 juin, comme Halilhodzic, Renard et Queiroz. Sauf que l’intéressé n’a discuté réellement qu’avec Vahid Halilhodzic et Hervé Renard, une histoire à dormir debout ! Après un mois du départ de Madjer, la FAF n’a émis aucun signal positif, ni donner la moindre information, contrairement à l’Egypte par exemple ou la Tunisie, qui sont dans la même situation que l’Algérie. A la fédération et depuis quelques jours, on se contente de dire qu’on a réglé l’affaire de l’entraîneur. Dans ce cas-là, pourquoi ce silence et ce retard ? Pourquoi on n’annonce pas le nom du futur driver, histoire de soulager le peuple, qui est toujours sous le choc de la clochardisation de son équipe nationale depuis la CAN-2017 ? Sauf si Zetchi veut gagner du temps pour annoncer ensuite un entraîneur de la trempe d’Alcaraz ou Madjer !.

LE BUTEUR