EN U20 Affaire des deux joueurs l’OM: La FAF radar pointé du doigt

L’affaire de l’éviction des joueurs Khetir Cyril et Mehdi Baâloudj de l’OM continue de faire la une des medias algériens et des réseaux sociaux.

Selon compétition, les responsables de l’OM n’auraient pas accepté que leurs joueurs  fassent l’impasse sur l’écho-cardiaque dans leurs centres et leur propre clinique, en plus qu’ils avaient été testés positifs au coronavirus par le passé, mais faute de temps, les 3 joueurs sont allés effectuer les examens et en assumer les frais dans d’autres établissements, un point retenu contre eux, c’était suffisant de les accuser d’avoir enfreint le règlement intérieur et le protocole sanitaire, ils ont été traduits en conseil de discipline et ils ont été exclus de leurs clubs  Baaloudj et Khetir ont donc payé cash leur amour pour leur pays, mais la question qui s’impose : pouvaient-ils éviter cette attitude ? Ce qui est sûr, c’est que ces joueurs étaient heureux et excités à l’idée de venir à Alger, ils ne voulaient pas rater le stage, un comportement plus que noble de leur part, mais comme ils sont jeunes, il leur a manqué des encadreurs, d’ailleurs on croyait que la FAF Radar dirigé par Karim Idir avait justement cette mission, ce dernier s’exprimait récemment dans nos colonnes et affirmait que leur rôle ne se limitait pas à détecter les pépites et les ramener au pays, mais aussi les suivre et les conseiller, lui qui est d’ailleurs à la tête d’une boîte de management sportif, le rôle de cette structure mise en place par la FAF et la DTN devait être grand, mais visiblement les responsables de cette structure ont été absents sur ce coup, ce qui a donné lieu à ce flop et cette gravissime erreur retenue contre eux par les Marseillais.

Pour l’instant, la FAF continue d’attendre la réponse du club phocéen à la suite de l’écrit qui lui a été destiné, alors que Cyril Khetir a crié sa frustration et accuse ouvertement la direction de son club de racisme, cela peut prêter à confusion, notamment  pour la FAF qui ne semble pas tout savoir sur ce dossier, car même si la FAF Radar a transmis son PV, du côté de la FAF on n’en est pas encore totalement sûr, il faut dire que le travail effectué jusque-là n’a pas été totalement réussi, la débâcle de Tunis avec en plus des faits survenus sur place notamment a installé le doute,  signe d’un manque de confiance flagrant, qui reflète un petit peu le type de relation qu’entretient l’instance fédérale avec Karim Idir, Brahimi Lyès et les autres membres de la FAF radar.