A la découverte d’Ismael Messaoud, GFCA Ajaccio

DZBallon a été à la découverte d’un jeune Franco-Algérien qui évolue cette saison au Gazelec d’Ajaccio. Ismael Messaoud, nous dévoile dans cet entretien, son parcours mais aussi ses ambitions pour le futur.

DZB: Salam Ismaël peux-tu te présenter à nos lecteurs ?

I.M: Oui pas de problème , je m’appelle Messaoud Ismael, j’ai 17 ans ,je suis né à Saint-Etienne le 09/03/2000 , je suis algérien et je joue au GFCA Ajaccio en u19 nat.

DZB: Quel est ton parcours footballistique ?

I.M: Alors j’ai commencé à l’âge du 7 ans a l’AS Saint-Etienne puis à l’ âge de 16 ans j’ai quitté l’ASSE pour rejoindre le Puy en Velay qui évoluait en u17 nat et je viens de retrouver le GFCA d’Ajaccio pour l’année à venir .

DZB: À quel poste joues-tu ?

I.M: Je suis attaquant de pointe.

DZB: Comment le football est devenu ta passion ?

I.M: Comme je pense un peu près, tout le monde, c’est mon père qui m’a fait découvrir ce milieu là.

DZB: Quels sont tes objectifs en club puis personnels ?

I.M: Ben écoute je veux être l’un des meilleurs coéquipiers et personnellement je veux être le meilleur buteur.

DZB: Quelles sont tes qualités et tes défauts dans le jeu ?

I.M: Je suis très bon dos au but , le jeu en déviation et en remise mais je ne suis pas rapide, c’est mon défaut.

DZB: Si la sélection Algérienne faisait appel à toi, quelle serait ta décision?

I.M: J’accepterai avec plaisir car parce que c est mon pays

DZB: Quel est ton modèle à ton poste ?

I.M: Mon modèle est Benzema , il m’inspire beaucoup et joue un peu comme moi.

DZB: Quel est ton club de rêve en France puis dans le monde ?

I.M: Mon club de rêve est Monaco en ce moment parce qu’il ont beaucoup évolué et dans le monde c’est le Réal Madrid parce que ça reste quand même le grand Réal.

DZB: De quelle ville es-tu originaire en Algérie ?

I.M: Mon père et de Chelgoum laid et ma mère et originaire de la Kabylie.

DZB: As-tu un message ou une dédicace pour nos lecteurs ?

I.M: Ba allez me suivre sur instagram mon compte est Ismael.mess et puis vive l’Algérie